L’air intérieur est 5 à 7 fois plus pollué que l’air extérieur.
Or, nous passons 80% de notre temps dans des espaces clos.
Nous entendons souvent parler de pollution extérieure, mais qu’en est-il de la pollution de nos logements ?
Nous pouvons agir sur cette pollution intérieure dès la construction en choisissant des matériaux sains et adaptés.
Cependant, nous n’avons pas tout le temps la main sur cette partie, notamment quand nous achetons ou louons un logement déjà construit.
Il existe quand même des gestes qui peuvent impacter notre intérieur, le tout est d’en prendre conscience.
” Depuis le 1er septembre 2013, les produits de construction et de décoration vendus en France doivent posséder une étiquette qui indique, de manière simple et lisible, leur niveau d’émissions en polluants volatils. L’absence d’étiquette constitue une infraction.
Les produits concernés par cette réglementation sont les produits de
construction ou de revêtements de parois (amenés à être utilisés à
l’intérieur des locaux) et les produits utilisés pour leur incorporation
ou leur application. Sont ainsi concernés les cloisons, revêtements de sols, isolants, peintures, vernis, colles, adhésifs, etc. dans la mesure où ceux-ci sont destinés à un usage intérieur. “
Source : ecologie.gouv.fr
Dix polluants sont pris en compte et mesurés.
Elle fonctionne sur le même principe que l’étiquette énergétique : un produit A+ est faiblement émissif, alors qu’un produit noté C est fortement émissif. L’étiquetage fait référence aux polluants émis une fois les produits étalés et secs.
Faites le test chez vous : prenez l’exemple d’une chambre et réfléchissez à ce qui pourrait polluer l’air de cette pièce et quelles solutions vous pourriez trouver pour y remédier.
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Léa
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